Pour pouvoir abandonner, faut-il être lâche ou courageux ?

Je pense que la manière la plus juste pour juger l'attitude du personne selon un critère et de le faire par rapport à ses qualités intrinsèque, aussi je pense que l'on peut dire qu'une personne et courageuse si elle sort de sa zone de confort. La zone de confort étant propre à chacun je pense que l'on comprend ainsi l’intérêt de traiter cette question par rapport à ces qualités intrinsèques déjà présentes en elle.

Je suis plutot d'accord mais après je pense que tout dépend des situations d'abandon, car autant il faut à mon sens beaucoup de courage pour abandonner quelques choses qui nous tient à coeur comme une passion ou autre au profit d'une situation de famille par exemple, autant abandonner sans vraiment essayer par peur de l'échec ou par égoïsme est à mon sens lâche.
On peut voir ici que les situations d'abandon se divisent en deux grandes parties, l'abandon que j'appellerais "positif" (celui qui est fait dans l'intention d'une évolution positive de la situation) qui est l'abandon courageux et l'abandon "négatif" (qui est fais par peur, égoïsme, par ras-le-bol, par manque d'envie... ect) qui est donc à mon sens l'abandon lâche.

Il est vrai que se que tu dit semble aller de soit et on ne peut qualifier l'abandon comme bon ou mauvais simplement pour son caractère intrinsèque, sans même le relier à une fin ou plus largement à un contexte. Aussi je pense qu'en un sens cela rejoint d'une manière un peu éloigné se que j'ai souhaitais dire. Cependant, les critère sur lesquelles tu portes ton attention pour juger de se contexte semble différer quelque peu des miens.. Ainsi n'est-ce pas des critères propres à notre cultures ( ou à tes propres valeurs ) dont tu me parles et qui transparais dans le choix de tes expressions ?
par peur par opposition aux courage, par égoïsme par opposition à des valeurs d'altruisme, par manque d'envie en opposant grossièrement à la paresse. D'une certaine manière, je pense que nous serions d'accord pour affirmer que lorsqu'un abandon et contraire au désir de poursuivre, et quecelui-ci est dominant, il peut être qualifié de courageux

Ce ne sont pas des critères propres à notre culture dont je voulais parler, c'est plus de la conception de bien et de mal que chacun se fait et qui varie d'un individu à un autre selon son éducation, sa personnalité, ses expériences ect... ainsi un abandon peut paraître lâche pour certaines personnes et courageux pour d'autres. Mais cette question peut en soulever une autre qui serait d'ordre bien plus pratique (que ce soit pour ceux qui abandonne trop rapidement ou ceux qui n'arrive pas ou ont du mal à abandonner) : "Peut-on mettre en place une méthode/un outil (le plus général possible) aidant un individu dans son choix d'abandon ?"